Onibi - Carnets du Japon invisible,
Atelier Sentõ.
Edition : Issekinicho.
128 pages.
18,90€
Résumé :
Cachés au bord d'un sentier de campagne ou à l'ombre d'un temple, les esprtis japonais, renards, tanuki et autres yokaï guettent le voyageur égaré dans l'espoir de lui jouer des tours. Cécile et Olivier, fraîchement installées en bordure de la mer du Japon à Niigata, achètent un vieil appareil un peu spécial censé imprimer ces esprits sur la pellicule. Dans leur quête pour les prendre en photo, ils dressent le protrait d'un Japon en équilibre entre deux mondes.
Mon avis :
Peut-être le savez-vous mais j'adore monsieur Shigeru Mizuki ! Il est - était - l'un des plus grands mangaka - ou LE - à avoir permis à tout le monde de connaitre plus précisément les Yokaï grâce à ses mangas et son dictionnaire sur les Yokaï. Ainsi il va de soi que j'adore tout ce qui touche à ces esprits japonais, à ces créatures et toutes les histoires qui les entourent !
Mon monsieur m'a offert cet ouvrage pour mon anniversaire car il connait évidemment mon très grands intérêt pour tout ce qui traite de ce sujet. Il va de soit qu'il ne s'était pas trompé en m'offrant cet album ! Les dessins sont magnifiques, l'histoire est prenante : un appareil photo qui permettrait de voir les yokaï, j'achète immédiatement ! J'ai adoré découvrir chacune des photographies prises par ce couple, j'ai adoré découvrir comment ils ont fait pour arriver - ou pas - a une photographie. L'univers du Japon se ressent à travers chaque page, à travers chaque case, j'ai eu un petit moment de nostalgie en repensant à notre voyage au Japon il y a déjà trop longtemps ... Mais un jour qui sait, peut-être que l'on pourra y retourner et avec un peu de chance y photographier des yokaï !